Esos momentos....

Una vez más afronto esos momentos de pesar. Una tristeza que lo invade todo. Un mirar a los de demás, a los cercanos, ansiando que su cariño me sea demostrado. Inútil pretensión. Soy el primero en que cuando se necesita algo, lo único loable, a la hora de actuar, es pedirlo. Es una relación de palabras simples. Necesitas-pides. Los demás no tienen que saber como te sientes.

Lo mío no es orgullo. Bien demostrado lo tengo, a mi mismo, y a los cercanos. Sigue siendo un fallo en mi conducta, observar si los demás notan mi cambio de color y qué hacen ante ello.

Algunos lo notan, pero lo que hacen, ay, lo que hacen.

Estos momentos pasarán, como han pasado siempre, pero por el camino quedan cercanos, y ellos desaparecerán también. Eso, ciertamente, está más que comprobado.

Además, en algunos casos, aunque seguramente en todos, si trato de recordar, ya había visto pautas de comportamiento que me auguraban una total falta de lealtad. Toda tu relación con ellos no había sido nada más que un cruce de caminos. Antes o después, ya conocías el resultado final. Ese camino recorrido, se iba a bifurcar.

La tristeza no es el resultado de notar esas bifurcaciones, la tristeza siempre ha estado ahí, unas veces se delata de forma abrupta, incómoda, creando un malestar general que pocas cosas la difuminan.

Soledad, en ella me refugio, más no porque la desee como tal, si no porque es un valor seguro, y en los momentos de fragilidad, necesito cosas seguras, bien sabe dios, que ojalá, entre esas cosas hubiera personas, pero también sabe dios, que las personas tienen su propio camino, y uno no forma parte de ese camino, salvo en un trecho, y bajo unas condiciones.

Te han conocido como una roca, como un personaje capaz de logros psicológicos increíbles. Es difícil, ciertamente, que un día te vean necesitado de todo su apoyo, y se den cuenta, no lo pueden asumir, y lo niegan, se revelan contra ello, y te atacan. En el fondo, cuando estoy triste, les estoy quitando algo, y no quieren dármelo. Ahí radica la lealtad, acompañar a alguien aun sabiendo que no deseas acompañarlo, incluso deseando que se recupere, para poder librarte de tu compromiso, aun deseando que nunca más vuelva a necesitarte, ya que el peso de la lealtad te ahoga, y no quieres disfrutar de nuevo de esa sensación.
Para mi, la lealtad, es la única cadena que tengo, la única conexión que no se debe romper, cuando la rompen, mis cercanos dejan de serlo, y aunque en el futuro, el recuerdo del tiempo acompañando los paso en el camino, pueda incluso resultar agradable, tanto que te parece volver a revivirlo, ya sólo es eso, un recuerdo, y como tal, en cuánto dejas de pensar en él, desaparece para guardarse de nuevo en la caja de tu pensamiento. Como cuándo revisas tus juguetes, o una libreta del colegio, vuelves a aquel momento con toda su intensidad, pero en cuánto lo vuelves a guardar, todo aquello, se guarda también.


Mi padre me enseñó el camino, gracia padre. Una gran lección. Tú y tu familia, me han enseñado de qué va esta partitura, yo ya interpreto la música y la banda sigue tocando.

-----------------------ENGLISH VERSION------------------------------

Once again I face this time of sorrow. A sadness that is pervasive. A look at those of others, to close, wanting to be shown me their love. Useless claim. I am the first, when you need something, all laudable, the time to act, is ask. Is a list of simple words. Need-ask. Others do not have to know how you feel.

Mine is not pride. Well demonstrated what I have, myself, and nearby. It is still a bug in my conduct, see if others notice my change of color and what they do to it.

Some notice it, but what they do, oh, what they do.

These moments will pass, as they have always happened, but along the way are nearby, and they disappear as well. That certainly is more than proven.

Moreover, in some cases, but surely in all, if I try to remember, I had seen patterns of behavior that I predicted a total lack of loyalty. All your relationship with them had been nothing more than a crossroads. Sooner or later, you knew the outcome. That road trip is going to fork.

Sadness is not the result of noticing these bifurcations, the sadness was always there, sometimes it reveals an abrupt, uncomfortable, creating a general feeling that little of blur.

Soledad, I take refuge in it, but not because you want as such, but because it is a safe, and in moments of weakness, need to secure things, God knows, hopefully, between those things were people, but also knows God, that people have their own way, and you're not in that way, except in one way, and under some conditions.

I have known as a rock, as a character capable of incredible psychological achievements. It is difficult, indeed, that one day see you in need of full support, and realize, they can not assume, and I refuse, they rebel against it, and attack you. In the end, when I'm sad, I am taking something, and do not want to give me. Therein lies the loyalty, accompany someone knowing that you do not want to accompany him, even wishing to recover, to get rid of your commitment, still hoping that never again need you, as the weight of loyalty drown you, and do not want again enjoy that feeling.

For me, the loyalty is the only chain I have, the only connection that you should not break, when broken, cease to be my closest, and although in the future, the memory of the passage of time driving on the road to even be pleasant, as you think back to revive it, and it is just that, a memory, and as such, you stop thinking about how he saved again disappears in the box with your thinking. Like when you check your toys, or a book from school, go back to that moment with all its intensity, but how to save it again, everything is saved as well.


My father taught me the way, thanks dad. A great lesson. You and your family, I have taught us what this score, as I interpret the music and the band keeps playing.

-------------------------------Version française--------------------

Encore une fois je fais face à cette période de deuil. Une tristesse qui est omniprésente. Un regard sur ceux des autres, de fermer, de vouloir être de me montrer leur amour. Inutile réclamation. Je suis le premier, lorsque vous besoin de quelque chose, toutes louables, le temps d'agir, c'est de demander. Est-ce une liste de mots simples. Besoin-poser. D'autres n'ont pas de savoir comment vous vous sentez.

La mienne n'est pas la fierté. Eh bien démontré ce que j'ai, moi-même, et à proximité. Il est encore un bug dans ma conduite, voir si d'autres avis de mon changement de couleur et ce qu'ils font pour elle.

Certains avis, mais ce qu'ils font, oh, ce qu'ils font.

Ces moments vont passer, comme ils ont toujours des événements, mais le long du chemin se trouvent à proximité, et ils disparaissent ainsi. C'est certainement plus que prouvé.

En outre, dans certains cas, mais sûrement, en tout, si j'essaie de me souvenir, j'avais vu des modèles de comportement que j'avais prédit une absence totale de loyauté. Tous vos relations avec eux ont été rien de plus que la croisée des chemins. Tôt ou tard, tu savais le résultat. Ce voyage sur la route qui va à la fourchette.

La tristesse n'est pas le résultat de la constatation de ces bifurcations, la tristesse était toujours là, parfois, il révèle de manière brutale, mal à l'aise, la création d'un sentiment général que peu de flou.

Soledad, je me réfugie en elle, mais pas parce que vous voulez en tant que telle, mais parce que c'est un coffre-fort, et dans les moments de faiblesse, nécessité de sécuriser les choses, Dieu sait, je l'espère, entre les choses étaient des gens, mais sait aussi Dieu, que les gens ont leur propre façon, et vous n'êtes pas de cette façon, à l'exception d'une manière, et sous certaines conditions.

J'ai connu comme un roc, comme un personnage capable d'incroyables réalisations psychologique. Il est difficile, en effet, qu'un jour vous voyez dans le besoin du plein appui, et de réaliser, ils ne peuvent pas assumer, et je refuse, ils se rebellent contre lui, et vous attaquer. En fin de compte, quand je suis triste, je prends quelque chose, et ne veulent pas me donner. C'est là que réside la fidélité, accompagner quelqu'un en sachant que vous ne voulez pas de l'accompagner, même désireux de récupérer, de se débarrasser de votre engagement, espérant encore que plus jamais vous avez besoin, que le poids de la fidélité que vous noyer, et ne veulent pas à nouveau jouir de ce sentiment.

Pour moi, la loyauté est la seule chaîne dont je dispose, le seul lien que vous ne devriez pas rompre, quand cassé, cesse d'être plus proche de mon, et bien que dans l'avenir, la mémoire du passage du temps de conduite sur la route de même être agréable, que vous repensez à la faire revivre, et il est juste que, une mémoire, et en tant que tel, vous arrêter de penser à la façon dont il a sauvé disparaît à nouveau dans la boîte avec votre pensée. Comme lorsque vous vérifiez vos jouets, ou d'un livre de l'école, revenir à ce moment-là avec toute son intensité, mais comment l'enregistrer de nouveau, tout est sauvé ainsi.


Mon père m'a enseigné la manière, le père de grâce. Une grande leçon. Vous et votre famille, je nous ont appris ce que cette partition, comme je l'interpréter de la musique et la bande continue à jouer.